ADN poubelle, 12 Brins-lumière, Cerveau reptilien-Néocortex, Egos, Nibiriens

 Les chercheurs, les biologistes moléculaires, les généticiens, expliquent que le supposé ADN poubelle que la science officielle a fait connaître, est un ADN qui ne vient de ce monde. Ils ont pu  vérifier qu'à l'intérieur de la poubelle appelée à tort ADN, existe une sorte de livre ou de fil de la vie comme une encyclopédie, ce qui montre qu'il n'y a rien à jeter dans notre génome intérieur. 


Les chercheurs en biomédecine ont découvert que ce que l'on appelait l'ADN poubelle constitue une information utile et importante à partir de laquelle les êtres multidimensionnels élaborent des codes de lumière complexes liés à la génétique humaine. L'ADN joue un rôle essentiel en contrôlant le comportement des cellules, des organes et des autres tissus du corps humain. Il s'agit en fait, d'un grand panneau de contrôle avec des millions d'interrupteurs qui régulent l'activité des gènes. Sans ces interrupteurs ont seraient vulnérable à des maladies héréditaires, génétiques ou auto-immunes. 


D'autre part, l'existence d'un concept intelligent de la création est un argument de plus en plus présent parmi les scientifiques. Selon la nouvelle médecine, l'ADN peut être influencé et reprogrammé par des mots et des fréquences, sans pour autant détruire ou remplacer les gènes individuels.


Il est important de comprendre qu'en raison du vol abusif de notre ADN stellaire à 12 brins mis en œuvre par les Nibiriens-Anunakis de la planète X, nous avons perdu nos facultés métaphysiques ou extrasensorielles qui dépendaient du développement de nos glandes sécrétoires internes telles que la pinéale et l'hypophyse. En même temps, ils nous ont enlevé nos valeurs et nos principes et nous ont laissé en héritage des égos miasmes qui nous asservissent, car ils savent très bien comment tirer parti des émotions, des angoisses et des peurs, afin de mieux manipuler et contrôler les masses et la preuve en est l’existante de ce virus non mortel qui fait que nous sommes obligés d’obéir à leurs ordres pour notre soi-disant sécurité.